Quelques idée de vacance pour des enfants handicapés
L'ocirp (Organisme Commun des Institutions de Rente et de Prévoyance) vous indique quelques pistes de solutions.
En centre de vacances spécialisé
Les centres de vacances reçoivent des groupes d’enfants tous handicaps confondus ou par type de déficience. Renseignez-vous auprès de l’Association nationale Animation Éducation (www.anae.asso.fr/, qui dispose de quatre centres d’accueil en Bourgogne, en Provence et dans les Alpes. Le Conseil national des loisirs et du tourisme adaptés (CNLTA) s’intéresse aux personnes infirmes cérébrales. Les séjours sont proposés en fonction du niveau d’autonomie et du degré de handicap de l’enfant. APF Évasion ( http://www.apf.asso.fr rubrique « Partir avec l’APF ») organise également des séjours pour les handicapés moteurs.
www.cnlta.asso.fr
En centre aéré
Les centres aérés accueillent parfois des enfants atteints de handicap, mais les places sont rares et les enfants lourdement déficients sont généralement refusés. L’organisme Loisirs Pluriel (www.loisirs-pluriel.com) a développé dix associations locales en Bretagne, en Pays de Loire, en Haute-Normandie et à Paris. Ces dernières accueillent, le mercredi et lors des vacances scolaires, des enfants handicapés et valides de 3 à 13 ans. Elles organisent également des week-ends et des colonies. Pour plus de renseignements sur les centres aérés, lire l’article « Quand mamie est en vacances… ».
En établissement spécialisé
Certaines institutions (IME, IMPro, IMP) acceptent la venue d’enfants étrangers à leurs effectifs habituels. Renseignez-vous auprès de votre MDPH.
Divertissant, mais cher !
Si les tarifs de l’adhésion en centre aéré et en établissement spécialisé sont abordables, le prix des séjours de vacances reste élevé. APF Évasion (www.apf.asso.fr) propose des séjours d’une ou deux semaines en France et à l’étranger, à des prix qui oscillent entre 1 450 € et 7 985 € selon la destination et les prestations offertes.
Des solutions pour financer
Pour obtenir un coup de pouce :
– les aides municipales (contacter le service social de la mairie) ;
– les bons vacances de la caisse d’allocations familiales ;
– les bourses de La Jeunesse au plein air (www.jpa.asso.fr) ;
– les bourses solidarité vacances (s’adresser à la mairie) ;
– les aides spécifiques des mutuelles ;
– les Chèques-Vacances de l’ANCV (www.ancv.com), etc.
Les centres de vacances reçoivent des groupes d’enfants tous handicaps confondus ou par type de déficience. Renseignez-vous auprès de l’Association nationale Animation Éducation (www.anae.asso.fr/, qui dispose de quatre centres d’accueil en Bourgogne, en Provence et dans les Alpes. Le Conseil national des loisirs et du tourisme adaptés (CNLTA) s’intéresse aux personnes infirmes cérébrales. Les séjours sont proposés en fonction du niveau d’autonomie et du degré de handicap de l’enfant. APF Évasion ( http://www.apf.asso.fr rubrique « Partir avec l’APF ») organise également des séjours pour les handicapés moteurs.
www.cnlta.asso.fr
En centre aéré
Les centres aérés accueillent parfois des enfants atteints de handicap, mais les places sont rares et les enfants lourdement déficients sont généralement refusés. L’organisme Loisirs Pluriel (www.loisirs-pluriel.com) a développé dix associations locales en Bretagne, en Pays de Loire, en Haute-Normandie et à Paris. Ces dernières accueillent, le mercredi et lors des vacances scolaires, des enfants handicapés et valides de 3 à 13 ans. Elles organisent également des week-ends et des colonies. Pour plus de renseignements sur les centres aérés, lire l’article « Quand mamie est en vacances… ».
En établissement spécialisé
Certaines institutions (IME, IMPro, IMP) acceptent la venue d’enfants étrangers à leurs effectifs habituels. Renseignez-vous auprès de votre MDPH.
Divertissant, mais cher !
Si les tarifs de l’adhésion en centre aéré et en établissement spécialisé sont abordables, le prix des séjours de vacances reste élevé. APF Évasion (www.apf.asso.fr) propose des séjours d’une ou deux semaines en France et à l’étranger, à des prix qui oscillent entre 1 450 € et 7 985 € selon la destination et les prestations offertes.
Des solutions pour financer
Pour obtenir un coup de pouce :
– les aides municipales (contacter le service social de la mairie) ;
– les bons vacances de la caisse d’allocations familiales ;
– les bourses de La Jeunesse au plein air (www.jpa.asso.fr) ;
– les bourses solidarité vacances (s’adresser à la mairie) ;
– les aides spécifiques des mutuelles ;
– les Chèques-Vacances de l’ANCV (www.ancv.com), etc.