Un projet de vie autonome

La Maison des Merveilles à Battice accueille des personnes en situation de handicap mental désireuses de gagner en autonomie. Sandrine, l'une des colocataires, raconte son expérience. Après avoir vécu au Foyer des Merveilles à Blegny, elle a emménagé dans cette nouvelle maison où elle a pu choisir sa chambre, son mobilier et sa décoration. "On a sa propre intimité, il y a moins de conflits et on est libre", explique-t-elle.

Une démarche volontaire

L'intégration dans la Maison des Merveilles se fait sur une base volontaire. Sandrine Steiger, directrice du Pays des Merveilles (réseau Abilis), précise que les candidats doivent visiter la maison et rédiger une lettre de motivation. "Tous ne l'ont pas fait. Certains préfèrent la sécurité rassurante d'un foyer."

Partage et responsabilités

Les résidents de cette maison d'inclusion partagent les tâches ménagères, les repas et certaines activités. Samantha, par exemple, a pris un abonnement à la salle de sport de Chaineux et s'y rend seule à pied, trois fois par semaine. Elle a également appris à prendre le bus et à gérer ses rendez-vous. "Sur le chemin de l'autonomie, ils apprennent aussi bien à entretenir une maison, qu'à postuler à un emploi ou à cuisiner", souligne Sandrine.

Un filet de sécurité

Les éducateurs de la Maison des Merveilles accompagnent les résidents selon leurs besoins, envies et craintes. Nancy Guillaume, éducatrice au sein du réseau Abilis, explique : "On sert de filet de sécurité. Au cas où ils rencontrent un problème, ils savent qu'on est là."

Désinstitutionnalisation et inclusion

L'objectif de cette maison est de désinstitutionnaliser le monde du handicap et de permettre à chacun de trouver sa place dans la société. La Maison des Merveilles est un exemple concret de ce processus, offrant une alternative aux structures traditionnelles en favorisant l'autonomie et l'inclusion des personnes en situation de handicap mental.

Un nouveau départ pour Sandrine et ses colocataires

La Maison des Merveilles à Battice accueille des résidents en situation de handicap mental cherchant à vivre de manière plus autonome. Sandrine, qui vivait auparavant au Foyer des Merveilles à Blegny, a emménagé dans cette maison où elle a choisi sa chambre et sa décoration. "On a sa propre intimité, il y a moins de conflits et on est libre", se réjouit-elle.

Un choix volontaire et motivé

Pour intégrer la Maison des Merveilles, les candidats doivent visiter la maison et écrire une lettre de motivation. "Certains préfèrent la sécurité d'un foyer, mais ceux qui veulent plus d'autonomie postulent volontairement", explique Sandrine Steiger, directrice du Pays des Merveilles (réseau Abilis).

Vie en communauté et apprentissage de l'autonomie

Les résidents partagent les tâches domestiques, les repas et certaines activités. Samantha, par exemple, a pris un abonnement à la salle de sport de Chaineux et s'y rend trois fois par semaine. Elle a également appris à utiliser les transports en commun et à gérer ses rendez-vous. "Ils apprennent à entretenir une maison, à postuler à un emploi et à cuisiner", précise Sandrine.

Accompagnement et sécurité

Les éducateurs jouent un rôle crucial en soutenant les résidents dans leur quête d'autonomie. "Nous sommes là comme filet de sécurité. Si un problème survient, ils savent qu'ils peuvent compter sur nous", explique Nancy Guillaume, éducatrice à la Maison des Merveilles.

Promouvoir l'inclusion sociale

La Maison des Merveilles vise à désinstitutionnaliser le monde du handicap et à promouvoir l'inclusion sociale. En offrant une alternative aux structures traditionnelles, elle permet aux personnes en situation de handicap mental de vivre plus librement et de participer pleinement à la société. Ce modèle d'habitat inclusif est une avancée significative vers une société plus inclusive et solidaire.

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