Festival Retour d'image, Cinema des différences du 6 au 16 décembre 2007
La 3e édition du festival Retour d'image se déroulera du jeudi 6 au dimanche 16 décembre à la Cité des sciences et de l'industrie, à Paris.
Le FESTIVAL RETOUR D’IMAGE présente des oeuvres de tous horizons, surprenantes et décalées, dont le point commun est de mettre en scène un personnage présentant une particularité physique ou mentale, ou le point de vue d’un cinéaste touché par un handicap.
Ouvert à tous, Le FESTIVAL RETOUR D’IMAGE est un temps de rencontre autour du cinéma, entre des publics qui ne se côtoient pas toujours. Les films sont rendus accessibles au moyen d’audiodescriptions et sous-titrages à l’issue de chaque projection, un échange avec la salle est mené par un intervenant de l’équipe du festival, accompagné d’un invité.
La programmation de la 3e édition du festival RETOUR D’IMAGE regroupe des films de genres variés : longs et courts métrages inédits (fictions, documentaires, animations) côtoient des films sortis en salles lors des cinq dernières années mais qui n’ont pas, malgré de grandes qualités, rencontré le public qu’ils méritaient.
Lors du premier week-end du festival, les 8 et 9 décembre, les spectateurs peuvent dialoguer avec des réalisateurs impliqués dans une relation particulièrement proche avec la personne qu’ils filment.
Sont présentés : Elle s’appelle Sabine (France, 2007) de et en présence de Sandrine BONNAIRE et La couleur des mots (Belgique, 2005) de Philippe BLASBAND également en présence du réalisateur. L’un est le documentaire de l’actrice sur sa soeur Sabine autiste, l’autre une fiction sur une femme dysphasique, tournée dans la tradition de Cassavetes : en famille, avec
une véritable liberté.
Ce festival met à l’honneur la volonté des réalisateurs qui travaillent avec des interprètes touchés par un handicap.
Goran PASKALJEVIC, cinéaste serbe (auteur notamment de Baril de poudre ), a relevé le défi de tourner une fiction avec une toute jeune actrice autiste Jovana MITIC : Songe d’une nuit d’hiver (Fiction, Serbie , 2005), Grand prix du festival de San Sebastian. Ce film est passé presque inaperçu en France, bien que ce soit l’un des films les plus sensibles et impressionnants de l’auteur.
Côté documentaire, Murder ball (do c. USA, 2005) d’Henri Alex RUBIN et Dana ADAM SHAPIRO suit le combat sans merci des équipes américaine et canadienne de « rugby quad » (rugby en fauteuil roulant). Récompensé aux Oscars en 2005, ce film musclé et efficace, grand succès aux Etats-Unis,
n’est sorti en France, qu’en mai 2007 et n’a été vu que quelques jours. Raison de plus pour inviter le capitaine de l’équipe de France de basket fauteuil et le fondateur de la première équipe de rubgy quad française (actuellement en cours de formation) à commenter ce film et à nous éclairer sur ce sport hors du commun.
Une séance spéciale peinture et cinéma : « Frida aurait 100 ans » rapproche le long métrage du réalisateur Mexicain Paul LEDUC Frida , Naturaleza viva (fictio n, Mexique 1984-86), d’oeuvres courtes, inspirées par la peintre mexicaine Frida Kahlo, première femme à avoir conjugué délibérément création et handicap.
Le second week-end du festival (les 15 et 16 décembre) met à l’honneur la thématique du cyborg, homme greffé d’implants et de prothèses en tout genre. Des courts-métrages et deux grands films de science fiction sont projetés ainsi que le film «Sound and Fury» de Josh Aronson (Doc, USA, 2001).
Ouvert à tous, Le FESTIVAL RETOUR D’IMAGE est un temps de rencontre autour du cinéma, entre des publics qui ne se côtoient pas toujours. Les films sont rendus accessibles au moyen d’audiodescriptions et sous-titrages à l’issue de chaque projection, un échange avec la salle est mené par un intervenant de l’équipe du festival, accompagné d’un invité.
La programmation de la 3e édition du festival RETOUR D’IMAGE regroupe des films de genres variés : longs et courts métrages inédits (fictions, documentaires, animations) côtoient des films sortis en salles lors des cinq dernières années mais qui n’ont pas, malgré de grandes qualités, rencontré le public qu’ils méritaient.
Lors du premier week-end du festival, les 8 et 9 décembre, les spectateurs peuvent dialoguer avec des réalisateurs impliqués dans une relation particulièrement proche avec la personne qu’ils filment.
Sont présentés : Elle s’appelle Sabine (France, 2007) de et en présence de Sandrine BONNAIRE et La couleur des mots (Belgique, 2005) de Philippe BLASBAND également en présence du réalisateur. L’un est le documentaire de l’actrice sur sa soeur Sabine autiste, l’autre une fiction sur une femme dysphasique, tournée dans la tradition de Cassavetes : en famille, avec
une véritable liberté.
Ce festival met à l’honneur la volonté des réalisateurs qui travaillent avec des interprètes touchés par un handicap.
Goran PASKALJEVIC, cinéaste serbe (auteur notamment de Baril de poudre ), a relevé le défi de tourner une fiction avec une toute jeune actrice autiste Jovana MITIC : Songe d’une nuit d’hiver (Fiction, Serbie , 2005), Grand prix du festival de San Sebastian. Ce film est passé presque inaperçu en France, bien que ce soit l’un des films les plus sensibles et impressionnants de l’auteur.
Côté documentaire, Murder ball (do c. USA, 2005) d’Henri Alex RUBIN et Dana ADAM SHAPIRO suit le combat sans merci des équipes américaine et canadienne de « rugby quad » (rugby en fauteuil roulant). Récompensé aux Oscars en 2005, ce film musclé et efficace, grand succès aux Etats-Unis,
n’est sorti en France, qu’en mai 2007 et n’a été vu que quelques jours. Raison de plus pour inviter le capitaine de l’équipe de France de basket fauteuil et le fondateur de la première équipe de rubgy quad française (actuellement en cours de formation) à commenter ce film et à nous éclairer sur ce sport hors du commun.
Une séance spéciale peinture et cinéma : « Frida aurait 100 ans » rapproche le long métrage du réalisateur Mexicain Paul LEDUC Frida , Naturaleza viva (fictio n, Mexique 1984-86), d’oeuvres courtes, inspirées par la peintre mexicaine Frida Kahlo, première femme à avoir conjugué délibérément création et handicap.
Le second week-end du festival (les 15 et 16 décembre) met à l’honneur la thématique du cyborg, homme greffé d’implants et de prothèses en tout genre. Des courts-métrages et deux grands films de science fiction sont projetés ainsi que le film «Sound and Fury» de Josh Aronson (Doc, USA, 2001).